Vivre sans budget

Vivre sans budget

Je n’aime pas les budgets.

…mais il existe 2 choses qui me déplaisent bien plus que les budgets :

  1. Me sentir coincé à la moindre dépense imprévue
  2. Me sentir coupable lorsque je dépense de l’argent pour me faire plaisir.

Faire & tenir un budget : un conseil traditionnel

Quand on commence à être en contact avec les premiers conseils pour améliorer ses finances personnelles, il y en a un qui revient toujours : faire un budget et de s’y tenir. La blogosphère est remplie à outrance d’articles sur le sujet.

C’est une méthode suggérée à tout le monde voulant prendre ses finances en main, présentée comme étant la première chose à faire pour redresser vos finances personnelles.

(Dis donc… Je commence à mieux comprendre pourquoi beaucoup de gens n’arrivent pas à prendre leurs finances en main… Quel conseil ennuyant et inefficace pour la plupart d’entre nous !)

Si vous vous attendez à retrouver ici sur Mes Finances Perso les mêmes conseils ennuyeux de finances qu’on entend depuis des années partout ailleurs, vous allez être déçus !

J’aime ce qui est simple et qui fonctionne avec un minimum d’effort requis de ma part.

(Souvenez-vous : les meilleures solutions sont souvent les plus simples si vous prenez la peine d’être créatifs et ouverts d’esprit face à la situation qui est devant vous.)

C’est encore le cas ici : j’ai trouvé une façon beaucoup plus simple de gérer mes dépenses, qui me permet d’investir, d’épargner, payer tous mes trucs et quand même avoir de l’argent pour me gâter avec ce qui me fait plaisir. Poursuivre la lecture…

Comment accomplir l'impossible

Comment accomplir l’impossible

Notre cerveau est particulièrement doué pour réussir à nous convaincre rapidement qu’il sera difficile, voir même impossible par moments, d’accomplir certaines des idées qui nous tiennent le plus à cœur.
 
Exemples de choses en apparence difficiles :
  • Faire des choix santé en matière de nutrition, jour après jour, repas après repas
  • Mettre un % de côté de notre argent de côté en épargne et, conséquemment, se priver un peu plus aujourd’hui en prévision du futur.
  • Sortir de son confort pour aller faire de l’exercice
  • Trouver la « meilleure » opportunité d’investissement à faire avec notre argent
  • Réussir à lancer notre produit ou projet en lequel nous croyons
    • Citation reliée : “The last 10% it takes to launch something takes as much energy as the first 90%.” —Rob Kalin, Etsy founder
  • Savoir où commencer ou comment s’y prendre pour réaliser les idées que notre intuition nous signale comme étant bonnes pour nous
  • Faire « push-ups » ou des « sit-ups » à tous les matins
  • Écouter attentivement une critique qui nous est faite. Même si ça fait mal à entendre, ne pas bouillonner, ni argumenter, sachant qu’on est pratiquement toujours mieux de rester calme et de connaître la vérité
  • Prendre le temps de déconnecter (pour vrai, à 100%) de tout appareil électronique pendant quelques temps, le temps de laisser notre cerveau respirer et se reposer. C’est un peu ironique de dire cela, puisque je suis à l’ordi pour vous écrire ceci, mais sachez que l’idée derrière cet article m’est venue alors que  j’étais sur le bord de l’eau, tranquille dans un petit parc… (voir image ci-dessous)).

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Faire le Grand Saut

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 5)

Cet article est la dernière partie d’une série de 5 articles sur les 5 premières années de Mes Finances Perso. Cliquez ici pour accéder aux parties 1, 2, 3 ou 4 de l’histoire.

Le Grand Saut

Quitter son emploi et se lancer à temps plein dans ses projets

Qu’on se le dise tout de suite : sentir que les conditions sont parfaites pour être prêt à quitter son emploi et voler de ses propres ailes à temps plein, ça n’arrivera jamais. Vous aurez toujours une ou plusieurs bonnes excuses pour repousser le grand saut.

Je parle en connaissance de cause, puisque j’ai moi-même été pris dans ce cercle vicieux. Après 3 ans de dur labeur sur mes projets à temps partiel en même temps qu’un emploi à temps plein, je n’avais toujours pas fait le grand saut.

Cela m’est arrivé même si j’étais passionné par l’idée de devenir un entrepreneur à temps plein et ne travailler que sur mes projets personnels.

Mon intuition et mon cœur me suppliaient de voler de mes propres ailes et de croire en mes capacités de réussite, alors que ma tête me trouvait les meilleures excuses du monde pour ne pas le faire.  Poursuivre la lecture…

8 traits pour connaître le succès

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 4)

Cet article est le 4e d’une série sur les 5 ans de Mes Finances Perso. Cliquez ici pour les parties 1, 23 & 5.

60 h / semaine durant 3 années complètes

Aujourd’hui, j’aimerais vous expliquer comment j’ai réussi à jongler 3 ans avec un emploi à temps plein, tout en lançant et développant 3 projets :

Voici quelques faits dignes de mention sur les 2 emplois temps plein que j’ai occupés avant de faire le grand saut à temps plein sur mes projets :

  1. 2008 à 2010 : Ingénieur logiciel junior pour une PME de développement de logiciels et d’informatique
    • Rencontre impromptue : Matthieu, un programmeur, ami et partenaire hors pair, avec qui j’ai appris à faire des projets logiciels de manière amusante et efficace.
    • Goûté au succès avec Matthieu : Analyse, développement et livraison avec succès d’un logiciel de plusieurs dizaines de milliers de dollars, de A à Z, pour une institution financière de renom.
    • Goûté à l’échec à pleines dents : Fermeture graduelle du département de développement de logiciels de la PME (J’ai écopé le premier, juste avant de partir pour mon premier voyage en Europe).
  2. 2010 à 2012 : Consultant pour une multinationale en technologies de l’information (informatique) et gestion des processus d’affaires
    • Dans tout négatif, il y a du positif : Après m’être fait remercier de mes services et être parti 1 mois en Europe, ma job de rêve est arrivée sur un plateau d’argent grâce à un de mes amis avec qui j’ai étudié (merci Jo !). On dit souvent que la meilleure façon de décrocher un emploi, c’est en se faisant référer par une personne à l’interne. Je confirme la théorie : tous les emplois que j’ai occupés dans ma vie m’ont été référés par une personne travaillant sur place. C’est comme si on entrait par la « porte d’en arrière » et que l’on était « déjà désiré ». Il suffit de livrer une solide performance en entrevue, mais surtout, leur donner le goût de travailler avec vous.
    • Rêve atteint : Durant toutes mes études, je caressais le rêve de réussir à décrocher un excellent emploi au centre-ville de Montréal dans une grande tour. C’était désormais chose faite !
    • Désintérêt total envers ma job que je croyais « de rêve », puis une tournure d’événements incroyable : Après un peu plus d’un an dans mon département, j’étais complètement dégoûté par ma job. J’étais pus capable, comme on dit en bon Québécois ! Le hasard fait bien les choses : alors que j’étais sur le point de démissionner, j’ai attendu que la nuit me porte conseil pour ne pas faire un geste que j’aurais regretté et j’en ai profité pour inviter un ami pour passer du bon temps et me changer les idées. Lors de cette soirée, je lui ai confié les douleurs que j’éprouvais face à ma job : ennui total au quotidien, projet énorme et complexe dans lequel je n’avais pas envie d’investir autant d’heures de ma vie, perspectives d’avancement inexistantes et inintéressantes dans le court et moyen terme. C’est alors qu’Alain m’a confié qu’il était en train de postuler sur un mandat de consultation en amélioration de processus (wow !) dans une institution financière (re-wow !!!) et qu’il y avait 2 ouvertures (wow 1000 fois). Un mélange de chance et d’opportunisme ? Probablement, quoique je pense que l’on crée sa chance par ses actions concrètes et les graines que l’on plante, jour après jour, dans la bonne direction. Du positif dans le négatif, encore une fois ! Comme ce mandat de consultation était au sein de l’entreprise de consultants pour laquelle je travaillais déjà (mais dans un autre département), j’ai demandé à être transféré de département pour pouvoir le décrocher. Ça n’a pas été facile : la boss de ma boss m’a dit que j’aurais beaucoup de difficulté à réussir ce mandat, ma boss m’a dit qu’il fallait faire approuver ma demande avant d’avoir le droit d’être passé en entrevue, etc. Comme je connaissais bien la boîte pour laquelle je travaillais, je savais qu’un changement de département était tout à fait possible, voir même encouragé par moments. À la grande déception de mes boss, j’ai capitalisé sur l’opportunité : réussi à obtenir une entrevue chez le client en question, obtenu le poste de consultant à cet endroit le jour-même, été transféré de département et commencé mon nouveau mandat en moins de 2 semaines. « When life gives you lemons, you paint them gold » (Traduction FR : Quand la vie te donne des citrons, peinture-les en or).

D’accord pour tes emplois CC, maintenant, comment fait-on pour avoir le temps de travailler en plus du travail que l’on a déjà ? Me dites-vous.

Sans plus attendre, voici des suggestions et 1 exercice pour vous aider avec cette problématique !  Poursuivre la lecture…

Arbres et rayons de soleil

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 3)

Peaufiner son idée de projet, site ou compagnie

Dans la partie 2 du résumé des 5 ans de Mes Finances Perso, je vous ai présenté une méthode qui aide à trouver une bonne idée de projet. Après l’avoir essayée pendant un moment, vous commencerez à avoir certaines idées qui ressortent des autres. Des idées en apparence prometteuses.

Avoir une ou plusieurs bonnes idées de projet, c’est bien, mais ce n’est que le début.

Ces idées potentiellement bonnes auront besoin d’une petite vague supplémentaire de travail et de validation afin de vous aider à identifier la plus prometteuse du lot de bonnes idées identifiées.

Je vais vous montrer comment nous avons fait.

C’est parti !  Poursuivre la lecture…