Faire le Grand Saut

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 5)

Cet article est la dernière partie d’une série de 5 articles sur les 5 premières années de Mes Finances Perso. Cliquez ici pour accéder aux parties 1, 2, 3 ou 4 de l’histoire.

Le Grand Saut

Quitter son emploi et se lancer à temps plein dans ses projets

Qu’on se le dise tout de suite : sentir que les conditions sont parfaites pour être prêt à quitter son emploi et voler de ses propres ailes à temps plein, ça n’arrivera jamais. Vous aurez toujours une ou plusieurs bonnes excuses pour repousser le grand saut.

Je parle en connaissance de cause, puisque j’ai moi-même été pris dans ce cercle vicieux. Après 3 ans de dur labeur sur mes projets à temps partiel en même temps qu’un emploi à temps plein, je n’avais toujours pas fait le grand saut.

Cela m’est arrivé même si j’étais passionné par l’idée de devenir un entrepreneur à temps plein et ne travailler que sur mes projets personnels.

Mon intuition et mon cœur me suppliaient de voler de mes propres ailes et de croire en mes capacités de réussite, alors que ma tête me trouvait les meilleures excuses du monde pour ne pas le faire.  Poursuivre la lecture…

8 traits pour connaître le succès

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 4)

Cet article est le 4e d’une série sur les 5 ans de Mes Finances Perso. Cliquez ici pour les parties 1, 23 & 5.

60 h / semaine durant 3 années complètes

Aujourd’hui, j’aimerais vous expliquer comment j’ai réussi à jongler 3 ans avec un emploi à temps plein, tout en lançant et développant 3 projets :

Voici quelques faits dignes de mention sur les 2 emplois temps plein que j’ai occupés avant de faire le grand saut à temps plein sur mes projets :

  1. 2008 à 2010 : Ingénieur logiciel junior pour une PME de développement de logiciels et d’informatique
    • Rencontre impromptue : Matthieu, un programmeur, ami et partenaire hors pair, avec qui j’ai appris à faire des projets logiciels de manière amusante et efficace.
    • Goûté au succès avec Matthieu : Analyse, développement et livraison avec succès d’un logiciel de plusieurs dizaines de milliers de dollars, de A à Z, pour une institution financière de renom.
    • Goûté à l’échec à pleines dents : Fermeture graduelle du département de développement de logiciels de la PME (J’ai écopé le premier, juste avant de partir pour mon premier voyage en Europe).
  2. 2010 à 2012 : Consultant pour une multinationale en technologies de l’information (informatique) et gestion des processus d’affaires
    • Dans tout négatif, il y a du positif : Après m’être fait remercier de mes services et être parti 1 mois en Europe, ma job de rêve est arrivée sur un plateau d’argent grâce à un de mes amis avec qui j’ai étudié (merci Jo !). On dit souvent que la meilleure façon de décrocher un emploi, c’est en se faisant référer par une personne à l’interne. Je confirme la théorie : tous les emplois que j’ai occupés dans ma vie m’ont été référés par une personne travaillant sur place. C’est comme si on entrait par la « porte d’en arrière » et que l’on était « déjà désiré ». Il suffit de livrer une solide performance en entrevue, mais surtout, leur donner le goût de travailler avec vous.
    • Rêve atteint : Durant toutes mes études, je caressais le rêve de réussir à décrocher un excellent emploi au centre-ville de Montréal dans une grande tour. C’était désormais chose faite !
    • Désintérêt total envers ma job que je croyais « de rêve », puis une tournure d’événements incroyable : Après un peu plus d’un an dans mon département, j’étais complètement dégoûté par ma job. J’étais pus capable, comme on dit en bon Québécois ! Le hasard fait bien les choses : alors que j’étais sur le point de démissionner, j’ai attendu que la nuit me porte conseil pour ne pas faire un geste que j’aurais regretté et j’en ai profité pour inviter un ami pour passer du bon temps et me changer les idées. Lors de cette soirée, je lui ai confié les douleurs que j’éprouvais face à ma job : ennui total au quotidien, projet énorme et complexe dans lequel je n’avais pas envie d’investir autant d’heures de ma vie, perspectives d’avancement inexistantes et inintéressantes dans le court et moyen terme. C’est alors qu’Alain m’a confié qu’il était en train de postuler sur un mandat de consultation en amélioration de processus (wow !) dans une institution financière (re-wow !!!) et qu’il y avait 2 ouvertures (wow 1000 fois). Un mélange de chance et d’opportunisme ? Probablement, quoique je pense que l’on crée sa chance par ses actions concrètes et les graines que l’on plante, jour après jour, dans la bonne direction. Du positif dans le négatif, encore une fois ! Comme ce mandat de consultation était au sein de l’entreprise de consultants pour laquelle je travaillais déjà (mais dans un autre département), j’ai demandé à être transféré de département pour pouvoir le décrocher. Ça n’a pas été facile : la boss de ma boss m’a dit que j’aurais beaucoup de difficulté à réussir ce mandat, ma boss m’a dit qu’il fallait faire approuver ma demande avant d’avoir le droit d’être passé en entrevue, etc. Comme je connaissais bien la boîte pour laquelle je travaillais, je savais qu’un changement de département était tout à fait possible, voir même encouragé par moments. À la grande déception de mes boss, j’ai capitalisé sur l’opportunité : réussi à obtenir une entrevue chez le client en question, obtenu le poste de consultant à cet endroit le jour-même, été transféré de département et commencé mon nouveau mandat en moins de 2 semaines. « When life gives you lemons, you paint them gold » (Traduction FR : Quand la vie te donne des citrons, peinture-les en or).

D’accord pour tes emplois CC, maintenant, comment fait-on pour avoir le temps de travailler en plus du travail que l’on a déjà ? Me dites-vous.

Sans plus attendre, voici des suggestions et 1 exercice pour vous aider avec cette problématique !  Poursuivre la lecture…

Publicité Tangerine Sans Frais (anciennement ING Direct Canada)

ING Direct Canada devient Tangerine!

ING Direct Canada est mort…

Accueillons Tangerine !

Qu’on le veuille ou non, si vous habitez au Québec, vous avez probablement entendu parler d’ING Direct Canada et/ou de Tangerine au moins une fois dans votre vie. Les publicités de Tangerine abondent : dans le métro (image ci-dessus), à la télévision et sur le web, le successeur d’ING Direct Canada est bel et bien en place !

Une ère de changement est donc parmi nous, il faut l’accepter !

J’ai décidé d’analyser ce qui s’est passé avant et après la transition afin de nous aider à mieux comprendre ce changement et avoir les outils nécessaires pour prendre une décision éclairée sur ce qu’il faut faire.  Poursuivre la lecture…

Compte Ép@rgne Desjardins Intérêt Élevé

Le compte Ép@rgne à intérêt élevé de Desjardins

Compte Ép@rgne à intérêt élevé : Nouveauté rafraîchissante de Desjardins

Une différence immense existe entre aimer l’idée d’avoir assez d’argent pour être confortable financièrement et aimer faire ce qui doit être fait pour être confortable financièrement. Pourtant, être à l’aise financièrement est une situation qui est à notre portée et, petit bonus, est beaucoup moins longue à réaliser que de devenir riche.

Pensons-y un moment. Être à l’aise financièrement, c’est…

  • Avoir assez de « lousse » pour se gâter une fois de temps en temps.
  • Ne pas être obligé de se serrer constamment la ceinture.
  • Avoir la possibilité de dire oui à des opportunités intéressantes.
  • Être moins stressé avec l’argent et les comptes à payer.
  • Un sentiment de sécurité pour soi et sa famille.

Peu de gens diraient non à cela.

Pourtant, le temps passe et passe.

On se promet de prendre nos finances en main bientôt. On caresse l’idée de devenir riche un jour. On rêve au moment où l’on aura suffisamment d’argent pour être heureux.

Pourtant, le temps passe et passe encore.

Est-ce que le temps vous a rendu aujourd’hui au stade où vous êtes entièrement satisfaits de votre situation financière ? Comme je disais en introduction, il y a une différence GIGANTESQUE entre aimer l’idée d’avoir plein d’argent et aimer faire ce qui doit être fait pour que cela arrive.

À ce sujet, deux aspects des finances personnelles m’ont toujours fasciné :

  1. La plupart des gens veulent améliorer leurs finances personnelles, mais ne prennent jamais action. Ils sont paralysés par l’ampleur de la tâche et remettent constamment à plus tard. De plus, ils sont horrifiés à l’idée de ne pas tout faire à la perfection.
  2. Les gens se trouvent les meilleures raisons/excuses du monde pour ne PAS avoir un compte épargne.

Pourtant, être à l’aise financièrement, c’est EXACTEMENT ça : avoir de l’argent de disponible si besoin il y a.

Le rapprochement avec le compte épargne commence-t-il à se faire sentir ? J’ose espérer 🙂

En lisant le présent article, vous aurez la possibilité d’en apprendre davantage sur un outil vraiment simple à mettre en place qui vous donnera les moyens nécessaires pour réussir à créer ce fameux « coussin » qui rend si confortable nos finances perso. Mettons nos excuses de côté pendant un instant; sortons de notre zone de confort. Soyons ouverts d’esprit.

Cliquez ici pour lire la suite de cet article sur le compte Ép@rgne

Comment économiser beaucoup d’argent : Admettre ce qui est mauvais pour nous

Bonjour à vous tous !

Comment allez-vous ? Moi, mieux que jamais ! Aujourd’hui, je vous ai préparé un petit article qui risque de vous aider, ou aider un de vos proches !

^_^

Allons droit au but. Avez-vous déjà remarqué que, vous faites un certain nombre d’efforts pour économiser de l’argent afin d’en avoir plus dans vos poches, mais que finalement vous en avez pas tant que ça dans vos poches? Dans mon cas, je me fais toujours des lunchs pour dîner, j’optimise à fond mes épiceries (plein de bouffe pour pas cher!), je paie tous mes comptes à temps, je n’ai pas de dette autre que ma dette d’étude, etc.

C’est en effet l’étrange impression que j’avais depuis un moment. J’économise sur plein de trucs, je fais toujours des bons achats (comme mon playstation 3 sur kijiji) et pourtant, on dirait que j’arrivais toujours « à court » avec mon argent.

Bien sûr, une des premières raisons qui explique cela est le fait que je donne vraiment beaucoup d’argent sur ma dette d’étude (presque la moitié de mes payes!). Même à ça, je me retrouvais toujours avec un petit solde sur ma carte de crédit qui s’accumulait. Je devais donc attendre la prochaine paye pour le payer, payer mes dettes, mon loyer et/ou comptes, puis de retour à la case départ avec peu d’argent et l’utilisation de la carte de crédit à nouveau d’ici la prochaine paye.

Savez-vous quoi? J’ai TROUVÉ la cause. C’est vraiment con.

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