8 traits pour connaître le succès

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 4)

Cet article est le 4e d’une série sur les 5 ans de Mes Finances Perso. Cliquez ici pour les parties 1, 23 & 5.

60 h / semaine durant 3 années complètes

Aujourd’hui, j’aimerais vous expliquer comment j’ai réussi à jongler 3 ans avec un emploi à temps plein, tout en lançant et développant 3 projets :

Voici quelques faits dignes de mention sur les 2 emplois temps plein que j’ai occupés avant de faire le grand saut à temps plein sur mes projets :

  1. 2008 à 2010 : Ingénieur logiciel junior pour une PME de développement de logiciels et d’informatique
    • Rencontre impromptue : Matthieu, un programmeur, ami et partenaire hors pair, avec qui j’ai appris à faire des projets logiciels de manière amusante et efficace.
    • Goûté au succès avec Matthieu : Analyse, développement et livraison avec succès d’un logiciel de plusieurs dizaines de milliers de dollars, de A à Z, pour une institution financière de renom.
    • Goûté à l’échec à pleines dents : Fermeture graduelle du département de développement de logiciels de la PME (J’ai écopé le premier, juste avant de partir pour mon premier voyage en Europe).
  2. 2010 à 2012 : Consultant pour une multinationale en technologies de l’information (informatique) et gestion des processus d’affaires
    • Dans tout négatif, il y a du positif : Après m’être fait remercier de mes services et être parti 1 mois en Europe, ma job de rêve est arrivée sur un plateau d’argent grâce à un de mes amis avec qui j’ai étudié (merci Jo !). On dit souvent que la meilleure façon de décrocher un emploi, c’est en se faisant référer par une personne à l’interne. Je confirme la théorie : tous les emplois que j’ai occupés dans ma vie m’ont été référés par une personne travaillant sur place. C’est comme si on entrait par la « porte d’en arrière » et que l’on était « déjà désiré ». Il suffit de livrer une solide performance en entrevue, mais surtout, leur donner le goût de travailler avec vous.
    • Rêve atteint : Durant toutes mes études, je caressais le rêve de réussir à décrocher un excellent emploi au centre-ville de Montréal dans une grande tour. C’était désormais chose faite !
    • Désintérêt total envers ma job que je croyais « de rêve », puis une tournure d’événements incroyable : Après un peu plus d’un an dans mon département, j’étais complètement dégoûté par ma job. J’étais pus capable, comme on dit en bon Québécois ! Le hasard fait bien les choses : alors que j’étais sur le point de démissionner, j’ai attendu que la nuit me porte conseil pour ne pas faire un geste que j’aurais regretté et j’en ai profité pour inviter un ami pour passer du bon temps et me changer les idées. Lors de cette soirée, je lui ai confié les douleurs que j’éprouvais face à ma job : ennui total au quotidien, projet énorme et complexe dans lequel je n’avais pas envie d’investir autant d’heures de ma vie, perspectives d’avancement inexistantes et inintéressantes dans le court et moyen terme. C’est alors qu’Alain m’a confié qu’il était en train de postuler sur un mandat de consultation en amélioration de processus (wow !) dans une institution financière (re-wow !!!) et qu’il y avait 2 ouvertures (wow 1000 fois). Un mélange de chance et d’opportunisme ? Probablement, quoique je pense que l’on crée sa chance par ses actions concrètes et les graines que l’on plante, jour après jour, dans la bonne direction. Du positif dans le négatif, encore une fois ! Comme ce mandat de consultation était au sein de l’entreprise de consultants pour laquelle je travaillais déjà (mais dans un autre département), j’ai demandé à être transféré de département pour pouvoir le décrocher. Ça n’a pas été facile : la boss de ma boss m’a dit que j’aurais beaucoup de difficulté à réussir ce mandat, ma boss m’a dit qu’il fallait faire approuver ma demande avant d’avoir le droit d’être passé en entrevue, etc. Comme je connaissais bien la boîte pour laquelle je travaillais, je savais qu’un changement de département était tout à fait possible, voir même encouragé par moments. À la grande déception de mes boss, j’ai capitalisé sur l’opportunité : réussi à obtenir une entrevue chez le client en question, obtenu le poste de consultant à cet endroit le jour-même, été transféré de département et commencé mon nouveau mandat en moins de 2 semaines. « When life gives you lemons, you paint them gold » (Traduction FR : Quand la vie te donne des citrons, peinture-les en or).

D’accord pour tes emplois CC, maintenant, comment fait-on pour avoir le temps de travailler en plus du travail que l’on a déjà ? Me dites-vous.

Sans plus attendre, voici des suggestions et 1 exercice pour vous aider avec cette problématique !  Poursuivre la lecture…

Arbres et rayons de soleil

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 3)

Peaufiner son idée de projet, site ou compagnie

Dans la partie 2 du résumé des 5 ans de Mes Finances Perso, je vous ai présenté une méthode qui aide à trouver une bonne idée de projet. Après l’avoir essayée pendant un moment, vous commencerez à avoir certaines idées qui ressortent des autres. Des idées en apparence prometteuses.

Avoir une ou plusieurs bonnes idées de projet, c’est bien, mais ce n’est que le début.

Ces idées potentiellement bonnes auront besoin d’une petite vague supplémentaire de travail et de validation afin de vous aider à identifier la plus prometteuse du lot de bonnes idées identifiées.

Je vais vous montrer comment nous avons fait.

C’est parti !  Poursuivre la lecture…

Grille de 5

5 ans de Mes Finances Perso (Partie 2)

Cet article est la deuxième partie de l’histoire des 5 premières années du site Mes Finances Perso. Cliquez ici pour la lire du début avec la partie 1.

La partie 1 de cette histoire des 5 ans de MFP s’est terminée avec 2 questions pour vous, chères lectrices & chers lecteurs.

Si vous le voulez bien, donc, j’aimerais débuter cette suite de l’histoire des 5 premières années de ce blogue en répondant rapidement aux réponses si gentiment fournies par certains. Mes Finances Perso s’est toujours voulu un lieu de partage dans les 2 sens, donc votre voix est très importante 🙂  Poursuivre la lecture…

Au-delà de l'argent

Au-delà de l’argent

[18h30, soir d’été au Québec, sur l’autoroute 20, armé d’un laptop et d’une envie immense de vous écrire…]

Moment d’introspection… 

Il fait beau, il fait chaud… Le vent est bon sur mon visage et me rappelle qu’il est bon d’être en vie par les temps qui courent.

Une sensation à la fois puissante et calmante se fait ressentir à l’intérieur de moi… celle de la paix d’esprit. Dit autrement, je pourrais même dire qu’il s’agit tout simplement d’un bien-être profond. Je suis en train de réaliser que j’apprécie outre mesure ma nouvelle vie d’entrepreneur et les éléments qui la composent, ce qui m’amène à être vraiment très, très souvent heureux.

Voilà maintenant 10 mois que j’ai quitté le marché du travail pour me lancer dans la création d’une entreprise, me permettant ainsi de m’investir à temps plein sur mon site d’idées cadeaux avec mon partenaire en or, Matthieu.

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Ralentir pour mieux apprécier

Ralentir pour mieux apprécier

J’ai compris aujourd’hui une leçon bien importante…

Il faut ralentir pour mieux apprécier 🙂

En ralentissant et en s’investissant dans le moment présent, il est possible d’apprécier presque tout. Prendre réellement le temps d’écouter son ami quand il nous parle est important, tout comme se sentir absorbé par la discussion. Faire la vaisselle peut être ennuyeux, mais lorsque l’on prend son temps pour bien le faire, on y prend plaisir et on la fait mieux !

Ralentir pour apprécier - Perspective

« Any experience can be transformed into something of value. » – Vash Young. Traduction en français : N’importe quelle expérience peut être transformée en quelque chose de valeur.

Ralentir permet de mieux faire les choses, de s’appliquer. De manière contre-intuitive, ralentir permet souvent d’accomplir plus et d’avoir un meilleur sentiment de satisfaction et de bien-être. Le chemin est aussi important que la destination, il faut l’apprécier et exprimer de la gratitude pour ce que l’on a déjà. Vouloir ce que l’on a, c’est en bonne partie ça le bonheur !

Bref, si vous n’aviez qu’une chose à retenir de tout ceci, c’est le titre du présent article…

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